I
amenez moi la femme qui a connu la foudre
élevée feuille par feuille dans le printemps des villes
(elle joue à l’ange sous la pluie)
amenez moi la veuve au sourire effondré
amenez moi la fille difficile à rejoindre
et que je n’entende plus
une fois rentré dans l’ombre
la plainte confuse des bars
mais cette joie terrible qui monte des collines pour saluer l’orage
3 commentaires:
Salut Rémi,
Cela fait longtemps que je ne t'avais pas écrit. Juste pour dire que j'ai bien aimé certains passages de "la vie acquise", dont celui-ci. Vraiment bien celui-ci. Je t'enverrai un mail d'ici peu un peu moins laconique. A plus. Patrice
merci patrice
à bientôt donc j'espère
biz
rem
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